Cela ne nous a pas échappé, des produits de Noël sont arrivés dans les supermarchés depuis début octobre (un jour, ils les sortiront fin août si ça continue, on n’aura pas le temps de faire sécher le maillot de bain qu’il faudra penser à la dinde). De la même manière, les films de Noël arrivent eux aussi de plus en plus tôt sur nos écrans et nos plateformes de streaming.
À l’instar des sacs bananes et coupes mulet, ce qui paraissait ringard il fut un temps revient fort à la mode en ce moment, et le film de Noël n’y échappe pas. Il y a une vraie hype autour de lui, il est de plus en plus regardé, de plus en plus demandé, sûrement parce que là au moins, on sait que tout va bien se passer.
Oui, Shirley va retourner dans son petit village natal à la suite de son licenciement de la grosse entreprise dans laquelle elle travaillait et bien entendu, elle va retomber sur son amour d’enfance qui est veuf et qui tient l’entreprise familiale qui est en faillite, mais elle va les aider à la remettre sur pieds et ils vont tomber fous amoureux. Oui, c’est cliché, oui c’est plan-plan mais au moins ça respire le bonheur, la neige, le sucre et le happy end. Comme on ne sait jamais comment ça se finit dans la vraie vie, là au moins pas de surprise et parfois ça fait du bien.
Alors, un film de Noël en Alsace ça donnerait quoi ? Ce n’est pas Shirley mais plutôt Jennifer Muller qui revient dans le Kochersberg après avoir tenté sa chance à Paris. Elle retrouve Christophe Meyer qui a ouvert un restaurant de spécialités alsaciennes et qui est légèrement dépassé pendant le marché de Noël, alors il l’embauche comme serveuse et même si elle se débrouille très mal au début, elle réussira à faire ses preuves en salle et dans le coeur de Christophe. Et pour la fin joyeuse : ils vécurent heureux et mangèrent beaucoup de bredala !
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