Le week-end c’est parfois la déprime, le blues de la désorganisation assumée et de la flegme super programmée. Quel plaisir de traîner, il n’y a rien de rasoir à ne rien faire. On se vautre dans un fauteuil avec le bouquin que l’on a tellement envie de terminer, pas lavé, pas habillé, pas embêté.