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A comme Astérix.

De futures nouvelles aventures du célèbre petit Gaulois se déroulent dans ce qui était la Germanie supérieure sous Jules César dans lesquelles il aide unser Vercingétorix à nous, Arioviste. Pour terminer l’histoire : non seulement un banquet avec cervoise, vinum et bretzelum Sticks, mais surtout pouvoir dire comme la tribu d’Astérix que le Barbaricium, autrement dit le Grand Est (voir la première page dans Astérix et le griffon), imaginé par un édile batave (oui, un certain Hollandus, dit « little Gouda ») occupait tout le coin… Tout ? Non ! Car nous résistions encore et toujours ! C’est alors que des cambrioleurs passés par un grand museum à la pyramide de Lutèce viennent nous enlever, tel un collier de cervelas, pour nous mettre en lieu sûr, dans un joli écrin entre Vosges et Forêt-Noire… Et alors ?… Je me suis réveillé…

Q comme Questions.

Lu un article consacré aux néovignerons : fabriquent-ils du néovin, et dans ce cas est-ce que cela se sent, le nez au verre ?… En pleine moisson, est-ce que le maïs ne serait plus forcément ce qu’on a appelé « l’or jaune » de l’Alsace, alors qu’on disait parfois qu’il s’agissait de la seule céréale avec laquelle on récoltait, en même temps, du blé, de l’oseille et des radis ?… Alors que l’Alsace émettrait moins de gaz à effet de serre que le reste du Grand Est, j’apprends que des chercheurs conçoivent des vaches qui rejettent moins de méthane : pour une vache qui paît, a-t-on ainsi inventé le processus de guerre à la pollution, plus qu’un processus de pet ?

C comme Chinois.

Il paraît que depuis les années 80, plus de 3000 familles chinoises vivent en Alsace. Sans compter les investissements, comme l’usine Huawei à Bernolsheim : cela fera une belle jambe aux accusations d’espionnage si Xi Jinping se rend compte qu’il doit comprendre ce que nous disons en alsacien… Mais je trouve la confiance de ce peuple grande de s’installer dans une région où, presque tous les dimanches matin au petit déjeuner, on mange du chinois…

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