1. Étude
Le Grand Est champion de l’emploi chez les jeunes
Une étude de l’Insee datant de septembre révèle que dans le Grand Est, les jeunes sont de plus en plus diplômés et en emploi. Elle porte sur la décennie de 2011 à 2022 et sur 966.000 jeunes âgés de 15 à 29 ans. Leur taux d’emploi a atteint 72 % en 2022, soit une hausse de 2,3 points par rapport à 2011 et 0,6 point de plus que pour le reste de la France en province. Concernant le taux de chômage, il a reculé de 3,5 points en dix ans pour s’établir à 20,1%. Cela reste plus élevé que la tranche 30-64 ans, dont le taux de chômage est à 9,5%. Enfin, c’est en Alsace que le taux d’emploi et de diplôme est le plus élevé de la région. Une multitude de chiffres qui illustrent le fait que le Grand Est demeure dynamique malgré les crises.
2. Sondage
À Strasbourg, les travailleurs sont attachés à leur région
Selon l’OCDE, les Français restent en moyenne 10 ans dans leur emploi avant de changer d’entreprise ou de secteur d’activité. Alors que le bien-être au travail est un enjeu majeur en 2025, une question subsiste : les Français sont-ils vraiment épanouis au travail, et sont-ils heureux dans leur région ? Pour tenter de répondre à cette question, Adobe Express a sondé un échantillon représentatif de 2 000 travailleurs français dans 24 secteurs d’activités, afin de mieux comprendre le niveau d’épanouissement professionnel dans les différentes villes de France, ainsi que les raisons et les freins à un changement de carrière. Rennes arrive en première position des villes de France où les travailleurs sont le plus attachés à leur région. Elle est suivie par Nice, Toulouse, Lille, Nantes, Toulon et Strasbourg, en 7e position. 28 % des sondés affirment vouloir rester dans leur ville ou région actuelle pour travailler et 25 % d’entre eux ont des engagements personnels ou familiaux.
3. Record
Le Babybel géant
Ce pourrait être une info tout droit sortie d’un épisode de Groland, pourtant, c’est bien réel. Depuis 8 ans, un Girondin fabrique une boule géante en cire de Babybel, comme l’ont rapporté nos confrères d’Ici Gironde. Chez lui, à Bourg-sur-Gironde, Patrick Soulard fabrique depuis des années une boule de cire, à l’aide des célèbres coques rouges des fromages Babybel. Ainsi, depuis 2018, il en a avalé pas moins de 8 750, l’équivalent de 3 200 euros. Résultat, sa création pèse actuellement près de 40 kilos ! Son objectif, c’est de monter jusqu’à 70 kg, et d’entrer au Guinness Book
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